Promoteur des éditions de l’Onde à St-Cloud, qui viennent de publier « Et si c’était à refaire ? Confidences sur un parcours de vie », il raconte ce qui l’a intéressé dans ce projet.

« Je suis Lionel Bonnet, des éditions de l’Onde à St-Cloud. Je suis ici ce jeudi matin, à Paris, venu accompagner Mme Hanny Tchelley, qui vient de publier chez nous son premier ouvrage « Et si c’était à refaire ? confidence sur un parcours de vie ». Le ton posé, les yeux pétillants, l’allure à l’Edouard Philippe, l’ancien Premier ministre d’Emmanuel Macron, Lionel Bonnet qui confessera facilement que beaucoup de gens trouvent qu’ils se ressemblent, est fier de sa trouvaille. « C’est Mme Tchelley qui m’a approché, comme souvent, ce sont les auteurs qui vont vers les éditeurs. Et puis on discute, on fait connaissance, si le contact se passe bien, on échange le manuscrit et si celui-ci est intéressant, on propose une collaboration à l’auteure. Dans le cas présent, ça s’est passé comme cela », raconte l’éditeur.

« La vie est combat qui vaut la peine »

« La force de ce manuscrit qui est aujourd’hui un livre, c’est que vous avez un récit de vie avec un certain nombre d’épisodes qui sont très variés, très profonds et très touchants et qui donnent un ensemble cohérent avec un message qui a une portée au-delà de la vie de Mme Tchelley, et qui peut être généralisé », affirme M. Bonnet qui voit deux messages forts à la production de Hanny Tchelley. « Le premier message, c’est que rien n’est jamais acquis dans la vie. Si on est suffisamment persévérant et combatif, on affrontera et surmontera toutes les difficultés ». Ce que ne dit pas Lionel Bonnet, c’est qu’il a travaillé avec Hanny Tchelley pendant plusieurs mois sans que les deux parties n’aient jamais eu besoin de se voir. C’est donc lors de la conférence de présentation du fruit de cette collaboration, jeudi dernier à Paris, que l’éditeur et l’auteure se voient pour la première fois. « Depuis la Covid, nous avons été obligés de revoir notre fonctionnement et travailler avec les auteurs que nous ne rencontrons pas ou que nous voyons très peu, voire que nous rencontrons après publication de leur livre », explique-t-il avant de conclure : « Maintenant que le livre est là, j’en attends une valorisation de notre maison d’édition par la qualité de l’ouvrage de Mme Tchelley ».

J.-C.E.

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