Artiste plasticien d’origine togolaise, il fait cohabiter l’inerte, le vivant et les esprits, à la galerie Mona Lisa, dans le 7ᵉ arrondissement de la capitale française, jusqu’au 27 juillet 2024.
« J’ai été invité par Sorelle (Me Begue-Buchert, notaire, présidente du Fonds de dotation Opéra Art Collection, ndlr) à participer à cette expression collective intitulée « Conversations ». Je pense qu’il était important d’y être, parce qu’à partir de la conversation, les idées peuvent émerger, on connait mieux les gens, les rencontres sont beaucoup plus pertinentes. » Yao Metsoko est comme ça. Tu lui demandes ce qui fait à la galerie Mona Lisa, dans le 7ᵉ arrondissement de Paris, un 3 juillet, il se perd dans des envolées poétiques. Peintre et sculpteur d’origine togolaise, il fait partie des artistes plasticiens dont les œuvres illuminent la galerie Mona Lisa, qui abrite une exposition exceptionnelle, sous le patronage de l’Association des élus de la diaspora camerounaise(EDC), qui met en avant l’art africain.
Trois collections
« J’ai choisi de proposer ces œuvres intitulées « Les correspondances », qui permettent de voir lien entre l’inerte, le vivant et les esprits. L’intérêt, c’est d’amener les gens à poser un regard qui leur permet de découvrir, de rentrer à l’intérieur, de capter les choses et de communier avec le public présent », raconte l’artiste, tout sourire, qui invite le public à venir nombreux rencontrer les collectionneurs, les artistes, les œuvres. Trois Collections sont exposées, celles de Sorelle Begue-Buchert, de Serge Bakoa Tonyé, et de Guy Sodatonou. Quant aux artistes plasticiens, en plus de Yao Metsoko, Made jong, Naistini Valaydon, Laurent Erny et Francis Mbella seront à votre service pour échanger et partager des moments privilégiés de culture autour du berceau de l’humanité et le reste du monde. Car, l’Afrique en fait partie.
Par J.-C.É. à Paris