La cérémonie de clôture a eu lieu dimanche 30 novembre 2025, au Palais de la Culture Sawa, à Bonanjo, en présence notamment du Maire de la ville.
« Au terme du salon du livre de Douala, nous pouvons dire que nous venons de vivre quatre jours intenses. L’enthousiasme, le dynamisme que nous avons observé tout au long des quatre jours de la 3ᵉ édition du salon du livre de Douala, confirment que Douala doit être non seulement une capitale économique, mais aussi une capitale de culture », a indiqué d’emblée, le maître des lieux, Roger Mbassa Ndinè, Maire de la ville de Douala, poursuivant : « Les thématiques abordées lors des table-rondes, la qualité des intervenants et des échanges, la mobilisation des écoles et des jeunes… nous encouragent à continuer à travailler pour dénicher les jeunes écrivains en herbe ».
« Engagement constant »
Roger Mbassa Ndinè, Maire de la ville de Douala, dans une allocution sobre, mais profonde, a salué l’organisation générale de l’évènement qui a refermé ses portes, dimanche 30 novembre 2025, au Palais de la Culture Sawa, à Bonanjo, après quatre jours d’activités intenses au rythme des échanges, des réflexions, ateliers et autres animations autour du livre. Les Prix de différents concours ont été remis, Matila O Duala conservant son prestige et sa notoriété incontestable. Mais le concours de dictée, celui de lecture, le concours de poésie, tout comme les Olympiades du savoir, prennent aussi du galon. L’on a pu apprécier, pour ne pas dire être impressionné par le jeune âge des lauréats, signe d’une jeunesse qui soif de lecture, d’écriture et certainement de savoir. Aussi, le Maire de Douala a souligné « l’engagement constant » en faveur de la promotion de la culture.
« Continuer à travailler »
M. Le Maire de Douala en a par ailleurs profité pour « féliciter tous ceux qui se sont investis dans la réussite de cette édition, ainsi que les lauréats des différents concours littéraires, tout en assurant ceux qui n’ont pas eu la chance de remporter un prix, de la disponibilité de la communauté urbaine de Douala à leurs côtés, en cas de nécessité ». Des mots qui ont été particulièrement applaudis, associant l’image de la ville de Douala à sa fonction de bienveillance, y compris pour celles et ceux de ses habitants les moins chanceux dans des concours ou des compétitions de toutes sortes.
« Nous continuerons à travailler pour que Douala soit une ville de culture. La pensée et l’expression artistique sont encouragées, valorisées, afin que la prochaine édition du salon du livre de Douala soit d’abord ville culturelle pour tous. Ville la littérature, vive la ville de Douala, vive le Cameroun ».
Par Jean-Célestin Edjangué à Douala

