Coprésident du Comité d’organisation du grand meeting à Paris, Place de la République, ce samedi 31 mai 2025, du candidat de l’Alliance Pour le Changement (APC), président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC), le professeur Maurice Kamto. Il en explique les enjeux et les attentes, sans omettre de faire un point sur les mesures sécuritaires prises pour assurer le succès de l’évènement. Nous l’avons rencontré au sortir de la conférence de presse organisée mardi 27 mai dernier, dans le 18 arrondissement de Paris.

M. Yamga merci pour votre disponibilité. Qu’est-ce qui justifie cette conférence de presse, à quelques jours de la rencontre, à Paris, du candidat de l’APC avec la diaspora camerounaise, et comment s’organise ce grand meeting du 31 mai 2025 à Paris ?

Le samedi 31 mai 2025, c’est un rendez-vous avec l’histoire. C’est un jour unique. Il n’y aura pas un second. Le professeur Maurice Kamto sera présent pour rencontrer une dernière fois la diaspora, avant d’entrer en campagne. Il y a une nouvelle page de l’histoire du Cameroun qui est en train de s’écrire, qui ira jusqu’à l’élection présidentielle d’octobre 2025. Et la diaspora dont le rôle n’est plus à démontrer quant à sa capacité à se mobiliser pour impulser le changement, doit donner au professeur Maurice Kamto toutes énergies dont il a besoin et surtout lui confier ce mandat de mission qui consiste simplement à abréger les souffrances du peuple camerounais. C’est dans ce contexte que se situe le meeting du samedi 31 mai 2025, Place de la République à Paris.

Comment se prépare l’organisation de cette rencontre entre le candidat de l’APC et les diasporas camerounaises et africaines dans la capitale hexagonale ?

Toutes les dispositions sont prises en terme d’organisation, à la fois pour sécuriser la manifestation, et la rendre la plus conviviale possible. Dès le matin, à partir de 10 h 00, les animations artistiques et culturelles vont démarrer en attendant l’arrivée sur scène du professeur Maurice Kamto, à 13 h 00.

Quelles sont vos attentes, comme coprésident du Comité d’organisation ?

Nous voulons que ce soit une rencontre bon enfant, entre un homme d’État et son public. Sur le plan sécuritaire, plus d’une centaine de bénévoles seront là pour quadriller le terrain, encadrés par des professionnels de la sécurité. Surtout, il y aura la police française dont la présence participe également à rassurer le public que nous espérons nombreux. Nous avons pris toutes les dispositions pour que tout se passe bien et qu’à l’issue de cette manifestation, autour de 18 h 00, chacun rentre tranquillement chez lui.

Recueilli par J.-C. Edjangué à Paris

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