Responsable Engagement Client chez Orange Money Europe, nous l’avons rencontré au Salon du livre africain de Paris dont la 2ᵉ édition s’est tenue les 17, 18 et 19 mars derniers à la Mairie du 6ᵉ arrondissement. Il explique la stratégie de la marque en matière de promotion de la culture.
Vous êtes représentant d’Orange Money Europe. Qu’est-ce qu’Orange Money Europe pour ceux qui ne vous connaissent pas encore ?
Orange Money Europe est un service de transfert d’argent. On est présent depuis maintenant 4 ans en France et dans six pays européens, bientôt sept avec le Portugal qui va ouvrir dans quelques jours.
Pourquoi Orange Money Europe était au salon du livre africain de Paris les 17, 18 et 19 mars 2023 ?
Nous étions à la 2ᵉ édition du Salon du livre africain de Paris pour une raison très simple. Quand vous faites un transfert d’argent de la France vers l’Afrique, vous faites plus qu’un transfert d’argent. Vous faites en réalité un transfert de santé, de nourriture, de vêtements, mais aussi un transfert de culture. C’est à ce dernier titre qu’Orange Money Europe était présent au salon du livre africain de Paris, comme nous sommes souvent présents dans beaucoup d’autres évènements de la diaspora africaine.
Orange Money Europe est un service très impliqué dans la promotion de la culture. Voulez-vous dire un mot sur « le trophée des plumes » ?
C’est justement l’autre raison de notre présence au Salon du livre africain de Paris. Nous avons lancé un concours d’écriture, « le trophée des plumes », qui s’adresse à tous les jeunes auteurs potentiels qui n’ont jamais été publiés et qui ont dans leurs cartons des textes ou alors qui vont en créer. Ce concours a été créé il y a maintenant trois ans avec une jeune entreprise qui s’appelle YouScribe, une plateforme de lecture numérique, et qui permet aux auteurs qui n’ont jamais été publiés d’être mis en avant. Chaque année, nous avons un parrain et un thème. Cette année, le parrain, c’est Gauz et le thème choisi, c’est « Tu dors, je veille ». À partir de ce thème, vous pouvez écrire une courte nouvelle de 8 000 caractères maximum. Un jury, le parrain et le public éliront trois gagnants. Ils recevront des lots, dont un stage d’écriture avec une maison d’édition qui s’appelle Ônoan. Une agence littéraire, basée au Cameroun, dédiée aux jeunes auteurs africains qui souhaitent être publiés, et qui va accompagner le gagnant de cette compétition culturelle dans l’écriture de son premier livre.
Recueilli à Paris par Jean-Célestin Edjangué