L’évènement, qui aura lieu du 23 au 28 octobre 2023, à la Mairie du 16ᵉ arrondissement de la capitale et à Port-Marly, dans les Yvelines(78), est un hommage au continent noir, comme étant un véritable laboratoire d’innovations.
L’évènement est exceptionnel. L’engouement autour aussi. Et pour cause ! Pour la première fois de son histoire, l’Afrique veut écrire son propre narratif en matière de créativité, recherche scientifique et innovation technologique, développement de service, promotion culturelle et sportive… Le continent, berceau de l’humanité et creuset des civilisations, veut s’afficher comme étant également une terre de solutions face aux maux divers et nombreux qui minent le quotidien d’1 milliard 300 millions d’habitants qui peuplent son espace géographique.
« 700 médias, des tables rondes, ateliers de formation… et une soirée de gala »
Parce qu’il ne s’agit pas pour l’initiateur et les organisateurs de la première édition de la Semaine de l’Afrique des solutions (SAS), de nier une quelconque évidence. Il s’agit davantage de mettre en avant ce que des centaines de millions d’Africaines et Africains font pour changer, de manière positive, le quotidien de ceux d’entre nous qui en avions le plus besoin. Et les applications et les bienfaits de cette créativité, de ces innovations, touchent des domaines extrêmement variés, dans toutes les régions du continent. La SAS permettra aux actrices et acteurs de solutions d’échanger leurs expériences, d’envisager de nouvelles pistes de réflexion par le biais des conférences, tables-rondes ou autres discussions, pour continuer à apporter des réponses adéquates aux problèmes auxquels ils sont confrontés dans la vue de chaque jour.
Une soirée de gala clôturera cette semaine qui s’annonce magique, avec des distinctions et récompenses à des Africaines et Africains considérés comme porteurs de solutions.
Une initiative inédite, qui mérite d’être encouragée pour son originalité et son apport dans l’écriture d’un nouveau récit de l’histoire du berceau de l’humanité, signe de l’avènement d’une Afrique nouvelle.
Par Jean-Célestin Edjangué à Paris