Cette Cannoise d’origine malgache, passionnée d’images et de son continent, témoigne de sa joie et son bonheur à participer à cette 19ᵉ édition du Festival international du film panafricain(FIFP) de Cannes.

Pourquoi êtes-vous présent à cette 19ᵉ édition du FIFP, à Cannes ?

C’est un immense honneur d’être là. D’abord en tant que Cannoise, de venir à ce festival pour voir différents films qui sont projetés. Les films sont vraiment intéressants. Mais surtout en tant qu’africaine, puisque je suis d’origine malgache. Tout ce qui concerne ou parle d’Afrique m’interpelle, me touche, c’est ma sensibilité naturelle.

Qu’est-ce qui vous a marqué des films que vous avez vus depuis l’ouverture de cette édition du FIFP ?

Beaucoup de chose m’ont marqué. D’une part, la programmation extrêmement riche et variée avec des histoires de la vie quotidienne. Ça me ramène à mes origines africaines et me fait réfléchir sur notre continent. Le film d’ouverture était très émouvant, l’histoire dramatique racontée et projetée à Cannes, c’est très touchant.

Qu’attendez-vous de cette édition ?

Je suis très impatiente et très curieuse de voir tout ce qui va être projeté jusqu’au dimanche 23 octobre, les films de fictions ou documentaires, des courts ou longs métrages, j’ai vraiment hâte de voir le maximum de films. De ce que j’ai vu de la programmation, je sais déjà que ce sont des films de très grande qualité, des films engagés.

Recueilli à Cannes par Jean-Célestin Edjangué

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